Jean-Michel Stievenard, Gérard Caudron et Didier Plancke débattent sur C9 à 18 h. Récit d'une rencontre.
18h10: Didier Plancke se présente comme le “seul homme d'opposition” face à deux hommes de gauche.
18h12: Gérard Caudron qualifie le grand stade de “projet pharaonique”. S'y opposera-t-il? “Je ne jouerai pas les Asterix gaulois face à la métropole.”
18h20: Gérard Caudron interrompt constamment ses deux concurrents. Didier Plancke rétorque: “Je croyais que vous aviez changé mais vous monopolisez toujours autant la parole.”
18h30: Didier Plancke, enseignant du secondaire, n'a pas les moyens financiers, d'acquérir un logemement à Villeneuve d'Ascq. En débat: le manque de logements sociaux et la faible mobilité des Villeneuvois. “On ne va pas quand-même pas les chasser de chez eux!”, réplique Gérard Caudron.
18h40: Gérard Caudron s'emballe sur les crèches: Il manque des places! Il y avait 9 mois d'attente il y a 7 ans. Aujourd'hui, ce sont 16 à 17 mois d'attente!” Jean-Michel Stievenard le contredit. Vous voyez qu'il ne me laisse pas parler non plus!", conteste Gérard Caudron. Didier Plancke intervient. “ C'est pas un combat de coqs, Monsieur Plancke. C'est un désaccord sur les chiffres."
18h45: Le journaliste annonce la fin du débat. Gérard Caudron relance : "Un débat qui était prévu il y a trois semaines.” Une manière de prendre l'avantage sur Jean-Michel Stievenard, qui l'avait accusé de refuser cet échange télévisé. Et d'avoir le dernier mot.
Julie Albet
vendredi 14 mars 2008
Villeneuve d'Ascq - Le débat
Libellés :
Villeneuve d'Ascq
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire